François
Legault récidive et fait une fois de plus dans l'enflure verbale; après
ses «anges gardiens» du printemps, nous voilà au «contrat moral» sans
que nous sachions mieux ce que cela signifie que les «anges gardiens».
Qu'importe, François Legault doit trouver que cela sonne bien et fait de
l'effet en point de presse. Pour un peu, le premier ministre nous
demandera de nous engager «sur l'honneur» à respecter son plan pour
Noël. Il n'existe rien de tel qu'un «contrat moral», Chacun jugera de la
valeur de ce «contrat moral» et des obligations qu'il crée. Car un
contrat n'a de valeur que dans la mesure ou il crée des obligations pour
les parties contractantes; si elles sont claires pour les citoyens,
elles apparaissent nébuleuses pour l'État québécois. auquel nous ne
pouvions que dénier tout sens moral. L'enflure verbale de François
Legault ne changera rien à cet état de fait.
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