Les
hétérosexuels seraient-ils en voie de disparition? Socialement du
moins! Selon le rapport annuel de l’agence américaine de santé, moins de
75% des élèves entre 14 et 18 ans s’identifient comme hétérosexuels.
«Ce «chiffre record» signalerait principalement que davantage de
personnes osent s’exprimer ouvertement sur leur orientation sexuelle et
que la pression d’«entrer dans la case «se fait moins forte». Parmi les
lycéens, un sur quatre s’identifie comme LBGTQ, indique The Hill.
Plus exactement , selon le rapport annuel des Centres de contrôle et de
prévention des maladies (CDC), l’agence américaine de santé, en 2021,
74,4% des élèves de 14 à 18 ans ont déclaré être hétérosexuels.[…]
«Ainsi, la proportion grandissante de personnes s’identifiant comme
LBGTQI ne signifie pas qu’il y ait dans les faits moins de personnes
hétérosexuelles, comme le précise le New York Post:
«C’est plutôt le signe que davantage de personne osent discuter de leur
orientation et de leur identité sexuelles.» (Parmi les adolescents
américains, une plus grande diversité d’orientations sexuelles, Courrier international, 28 avril
«Une
contagion sociale liée au développement du phénomène sur les réseaux
sociaux? Ritch Savin-Williams, professeur de psychologie du
développement (College of Human Ecology, Cornell University, NDA),
interrogé par le journal The Post, ne croit pas à cette
idée: «Les médias sociaux ont ajouté à cette visibilité qu’il existe des
options qui n’étaient pas disponibles auparavant […] Dans un sens
positif. ils disent en quelque sorte: «Hé, regardez, vous n’êtes pas
obligé de rentrer dans ces cases.» Selon lui, «ce n’est pas que le
nombre absolu de personnes ait augmenté en pourcentage en terme
d’orientation sexuelle, mais plutôt que la visibilité et la volonté des
individus de l’exprimer et de le déclarer.»( États-Unis: la maladie
hétérosexuelle,VA Confidentiel La lettre quotidienne, 4
mai) Je veux bien que l’on prétende que les adolescents, car on parle
bien d’adolescents ici, ne soit pas obligé de rentrer dans une case,
tant et aussi longtemps que l’on garde en mémoire que la nature et la
biologie font en sorte qu’ils sont déjà, qu’ils le veuillent ou non,
dans une case depuis leur conception, le reste n’est qu’idéologie.
Idéologie aujourd’hui, mais demain? Je reprend le titre de l’article que
je cite plus haut et que j’emprunte à la lettre quotidienne de
l’hebdomadaire français Valeurs actuelles. La lettre
quotidienne évoque «la maladie hétérosexuelle», pour l’heure ce n’est
encore qu’un titre qui veut frapper et susciter l’attention. Mais devant
le mordant et l’omniprésence du lobby LBGTI, combien de temps ce titre
ne restera qu’un titre? Lorsque les adolescents sondés par le New York Post, l’âge
adulte atteint et bien logés dans leur case LBGTQI, les derniers
hétérosexuels devront-ils à leur tour se trouver un placard? À moins que
la boucle ne soit bouclée et que l’Association américaine de
psychiatrie ne décrète alors que l’hétérosexualité est une maladie
mentale, comme elle tenait l’homosexualité pour une maladie mentale
jusqu’en 1973. Entretemps avant de disparaître, je marche les fesses
serrées.
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