Monday, July 1, 2019

Tous les moyens sont bons


La guerre larvée que le Canada multiculturaliste mène contre le Québec prend les formes les plus étonnantes et se déploie sur les fronts les plus surprenants.
 «Les Québécois sont beaucoup moins susceptibles que le reste des Canadiens d'avoir appris l'histoire de l'Holocauste à l'école, d'avoir lu un livre sur ce génocide perpétré durent la Seconde guerre mondiale ou même d'avoir été en contact avec une personne juive, révèle un nouveau sondage.» (Les Québécois, moins familiers avec l'Holocauste que le reste du Canada, La Presse, 29 juin).  
La professeure des sciences de l'éducation à l'Université du Québec à Trois-Rivières Silvane Hirsch se dit pour sa part peu surprise par les résultats.
[...] Le nombre de Québécois prétendant n'avoir jamais rencontrée personne juive est à son avis « normal », puisque la communauté juive de la province est surtout anglophone et concentrée à Montréal.«  Encore un effort Madame Hirsch et vous pourrez nous servir la thèse à la mode d'un Québec profond xénophobe et raciste. Une remarque s'impose, Montréal n'est pas le ghetto de Varsovie et les Montréalais sont libres de quitter la ville et d'aller à la rencontre des Québécois. Autre remarque, personne ne force les personnes juives de Montréal à se concentrer dans Hampstead ou Côte Saint-Luc et pour les résidents de Hampstead à élire un francophobe comme William  Steinberg comme maire. À l'inverse, combien de « personnes juives » du Québec fréquentent régulièrement des Québécois francophones?


Le sondage Léger mené travers le Canada révèle aussi que : « outre les Québécois, les répondants les moins susceptibles de s'être vus enseigner l'Holocauste provenaient de l'Ontario et des provinces de l' Atlantique. Seulement 31% d'entre eux ont dit s'être familiarisés avec ce chapitre sombre de l'histoires les bancs d'école.  Le pourcentage d'Ontariens et de Canadiens des provinces de l'Atlantique qui ont découvert l'Holocauste sur les bancs d'École n'a visiblement aucun intérêt pour le journaliste de la Presse Canadienne (Giuseppe Valiante). L'Ontario et les provinces de l'Atlantique ne viennent pas d'adopter une loi sur la laïcité.

Rien ne se perd, rien ne se crée en ce bas-monde, Jack Jedwab, historien et président de l'Association d'études canadiennes, a son idée sur la question : «Selon Jack Jedwab, les résultats de ce sondage devraient sonner l'alarme pour le ministre de l'Éducation du Québec, puisque le fait d'en apprendre davantage sur le génocide juif renforce selon lui la tolérance et habilite à lutter contre la discrimination.» Pourquoi la connaissance des holocaustes arménien, ukrainien ou rwandais ne pourrait-elle renforcer la tolérance et la lutte contre la discrimination. 
À ce chapitre l'armée de la tolérance et de la rééducation est déjà en marche: «des universitaires québécois préparent un guide pédagogique pour aider les enseignants de la province.» «En réponse à ce phénomène, la Fondation pour l'étude des génocides s'est associée au gouvernement du Québec pour mieux outiller les enseignants du secondaire. Silvane Hirsch l'une des deux universitaires derrière le guide pédagogique qui sera disponible dès cet automne au personnel enseignant de quelques écoles». En avril dernier, la directrice de la Fondation, Heidi Berger, avait déclaré à la Presse canadienne que son objectif était de diffuser ce guide dans toutes les écoles secondaires publiques et privées de la province d'ici 2020.» Alors qu'un débat est ouvert sur l'enseignement de l'histoire du Québec est ouvert (voir « qui a le droit» sur ce blogue, Les étudiants québécois ont-ils vraiment besoin de ce guide?

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