Selon Benjamin Ducol, responsable de
la recherche pour le Centre de prévention de la radicalisation menant à
la violence (CPRMV), les crimes et incidents haineux comptabilisés au
Québec ne sont que la « pointe
de l'iceberg » d'un phénomène beaucoup plus large.
« C'est difficile à évaluer
précisément, mais mon impression est qu'il y a quasiment 90% du
phénomène qui n'est pas mesuré ». Curieuse méthodologie pour le
chercheur du CPRM; « difficile à évaluer précisément »,
« phénomène qui n'est pas mesuré». Propos pour la moins surprenant chez
un homme censé détenir un doctorat en science politique de l'Université
Laval.
Selon l'article: »la sous-estimation
fait en sorte qu'il est impossible de se fier aux statistiques pour
comprendre l'évolution des crimes haineux au Québec, a fortiori pour
intervenir efficacement pour
les contrer et protéger les victimes. »(Crimes haineux:on ne voit que
la pointe du iceberg,
LaPresse, 1er juin). Alors à qui se fier sinon à Benjamin Ducol
lui-même et peut-être à son sous-fifre du CPRMV, Maxime Fiset, nous ne
saurons jamais la vérité, mais le Centre ne manquera pas de subventions.
Le Centre dispose d'un Budget de
1,8 millions provenant en part égales de la Ville de Montréal du
Ministère québécois de la Sécurité publique. Benjamin Ducol vient de se
transformer en Titanic avec sa comparaison avec les icebergs.
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