Il n’était pas besoin de savoir que le troupes russes avançent en Ukraine pour prendre conscience de la gravité du moment.
Dès
l’annonce de la présence de milliers soldats russes à la frontière
ukrainienne, les pays occidentaux claironnaient que la Russie ferait
l’objet de sanctions.
La
simple annonce des possibles réactions occidentales à la menace russe
suffisait à faire comprendre l ‘importance de la situation. Des
sanctions qui selon Olaf Scholz, le chancelier allemand, devaient être
«immédiates», pour Boris Johnson, les sanctions devaient être
«massives», Justin Trudeau pour sa part veut aujourd’hui (24 février)
des sanctions qui viseraient les élites russes, les membres du Conseil
de sécurité de la Russie et les ministres de la Défense, des Finances et
de la Justice. ce déluge de sanctions nous montre bien que’l’heures
grave, Les pays occidentaux ne lèveront pas le petit doigt
pourl’Ukraine, mais ils sanctionnent vountiers.
Le même jour , Joe Biden évoquait des sanctions devaient être «dévastatrices»,
Pour
sa part, le président Biden faisait savoir qu’il n’enverrait pas un
soldat américain pour défendre l’Ukraine. Ce qui signifie en clair que
l’Ukraine ne vaut pas qu’une goutte de sang américain ne soit versée
pour sa liberté.
Les Occidentaux réaliseront peut-être un jour qu’une volée de sanctions ne peuvent stopper une volée de missiles.
No comments:
Post a Comment