Tuesday, January 11, 2022

EUX

 


Alors que le Québec vit à l’heure covidienne et que sa population subi «docilement»(dixit Geneviève Guilbeault) les mesures sanitaires décrétées par le gouvernement. Certains au Québec, préfèrent vivrer en marge des «indigènes» et fonctionner selon leurs propres règles.
Alors que les écoliers «indigènes» retourneront en classe le 17 janvier et qu’il leur faudra s’astreindre à porter le masque dans le transport scolaire multiniveaux, et que le masque sera obligatoire en tout temps à l’intérieur des écoles et lors des déplacements des élèves si la distanciation n’est pas possible. Des règles qui ne semblent pas devoir s’appliquer à tous les écoliers du Québec: «Des membres de la communauté juive hassidique ont envoyé des dizaines d’élèves en classe malgré l’interdiction imposée par le gouvernement Legault.
Le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge a qualifié mardi la situation d’inacceptable.» (Des élèves juifs hassidiques en classe illégalement, Journal de Montréal, 4 janvier). Le ministre de l’Éducation peut s’indigner tant qu’il veut de l’attitude des Hassidiques, il en sera quitte pour sa montée de lait et rejoindra les rangs des précédents ministres de l’Éducation qui ont voulu inclure les matières de base des écoles «indigènes» dans le curriculum des écoles hassidiques. Toujours sans succès devant le front de beu des Hassidiques, nous sommes tellement Gentils .




«TVA Nouvelles a d’ailleurs visité l’intérieur de l’école communautaire Belz, une école de filles seulement, dans l’arrondissement d’Outremont. À l’intérieur, des dizaines d’enfants d’âge primaire qui sont en classe, ont été vus avec leur enseignante. Personne ne portait de masque».




Il n’y a pas lieu d’être surpris de ce comportement, les écolières de l’école Belz sont les enfants des Juifs hassidiques qui lors de la première vague de la pandémie au printemps 2020 s’obstinaient à se réunir à la synagogue malgré les avis de la Santé publique.
Il ne s’agit pas de conclure que que cette volonté de vivre en marge des «indigènes» résulte d’un sentiment de supériorité. Les mêmes Juifs hassidiques d’Outremont ne sont pas que délinquants, mais il sont aussi récidivistes, ils persistent à se réunir à la synagogue:»Des membres de la communauté juive hassidique se réunissent dans des synagogues de Montréal malgré l’obligation de fermer les lieux de culte imposée par le gouvernement Legault afin de freiner la flambée de COVID-19.[…]En plus d’enfreindre la règle imposant la fermeture des lieux de culte, TVANouvelles a pu constater que peu de fidèles portaient le masque en entrant dans le lieu de culte, dimanche matin. Selon des voisins de l’établissement religieux d’Outremont, des rassemblements auraient lieu tous les soirs, mais peu d’interventions pour mettre fin à ces derniers seraient seraient réalisées par le Service de police de la Ville de Montréal(SPVM)» (Des synagogues occupées malgré les règles sanitaires Journal de Montréal, 9 janvier). Le SPVM craint-il les accusations d’anti sémitisme qui suivraient de telles interventions.  Il faut donc conclure que ces délinquants jouissent d’une véritable impunité en raison de leur religion (l’égalité de tous devant la loi en prend un coup). Nous ne savons si le judaïsme protège contre la COVID-19, il protège apparemment contre la loi.
 

 

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