Alors
que le Québec vit à l’heure covidienne et que sa population subi
«docilement»(dixit Geneviève Guilbeault) les mesures sanitaires
décrétées par le gouvernement. Certains au Québec, préfèrent vivrer en
marge des «indigènes» et fonctionner selon leurs propres règles.
Alors
que les écoliers «indigènes» retourneront en classe le 17 janvier et
qu’il leur faudra s’astreindre à porter le masque dans le transport
scolaire multiniveaux, et que le masque sera obligatoire en tout temps à
l’intérieur des écoles et lors des déplacements des élèves si la
distanciation n’est pas possible. Des règles qui ne semblent pas devoir
s’appliquer à tous les écoliers du Québec: «Des membres de la communauté
juive hassidique ont envoyé des dizaines d’élèves en classe malgré
l’interdiction imposée par le gouvernement Legault.
Le
ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge a qualifié mardi la
situation d’inacceptable.» (Des élèves juifs hassidiques en classe
illégalement, Journal de Montréal, 4 janvier). Le
ministre de l’Éducation peut s’indigner tant qu’il veut de l’attitude
des Hassidiques, il en sera quitte pour sa montée de lait et rejoindra
les rangs des précédents ministres de l’Éducation qui ont voulu inclure
les matières de base des écoles «indigènes» dans le curriculum des
écoles hassidiques. Toujours sans succès devant le front de beu des Hassidiques, nous sommes tellement Gentils .
«TVA
Nouvelles a d’ailleurs visité l’intérieur de l’école communautaire
Belz, une école de filles seulement, dans l’arrondissement d’Outremont. À
l’intérieur, des dizaines d’enfants d’âge primaire qui sont en classe,
ont été vus avec leur enseignante. Personne ne portait de masque».
Il
n’y a pas lieu d’être surpris de ce comportement, les écolières de
l’école Belz sont les enfants des Juifs hassidiques qui lors de la
première vague de la pandémie au printemps 2020 s’obstinaient à se
réunir à la synagogue malgré les avis de la Santé publique.
Il
ne s’agit pas de conclure que que cette volonté de vivre en marge des
«indigènes» résulte d’un sentiment de supériorité. Les mêmes Juifs
hassidiques d’Outremont ne sont pas que délinquants, mais il sont aussi
récidivistes, ils persistent à se réunir à la synagogue:»Des membres de
la communauté juive hassidique se réunissent dans des synagogues de
Montréal malgré l’obligation de fermer les lieux de culte imposée par le
gouvernement Legault afin de freiner la flambée de COVID-19.[…]En plus
d’enfreindre la règle imposant la fermeture des lieux de culte,
TVANouvelles a pu constater que peu de fidèles portaient le masque en
entrant dans le lieu de culte, dimanche matin. Selon des voisins de
l’établissement religieux d’Outremont, des rassemblements auraient lieu
tous les soirs, mais peu d’interventions pour mettre fin à ces derniers
seraient seraient réalisées par le Service de police de la Ville de
Montréal(SPVM)» (Des synagogues occupées malgré les règles sanitaires Journal de Montréal,
9 janvier). Le SPVM craint-il les accusations d’anti sémitisme qui
suivraient de telles interventions. Il faut donc conclure que ces
délinquants jouissent d’une véritable impunité en raison de leur
religion (l’égalité de tous devant la loi en prend un coup). Nous ne
savons si le judaïsme protège contre la COVID-19, il protège apparemment
contre la loi.
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