Monday, May 26, 2025

Complicité objective

 



Les dhimmis sont déjà dans nos murs. Il n’y a pas d’autres façons de considérer les réactions de certains Québécois face à l’intention du gouvernement Legault d’interdire les prières de rue: «Les représentants de différentes communautés religieuses du Québec dénoncent en choeur la volonté annoncée par le gouvernement Legault d’interdire les prières dans la rue, une mesure qu’ils jugent radicale. Des ambassadeurs catholique, protestant, orthodoxe et musulman s’inscrivent en faux contre l’idée de proscrire toute manifestation religieuse dans l’espace public, comme le souhaite le premier ministre. Ils estiment que le Québec va trop loin s’il emprunte cette voie.» ( Interdire des prières dans les rues:une mesure radicale, dénoncent des communautés religieuses, TVA Nouvelles, 23 mai).À leurs yeux:«L’espace public, n’est pas assimilable à la sphère gouvernementale» plaident-ils, dans un mémoire déposé dans le cadre du projet de loi visant à renforcer la laïcité de l’État dans les écoles. Contrairement à ces «ambassadeurs», je suis d’avis que l’espace public relève de lal'autorité gouvernementale (on parle ici de rues, des rues qui sont, jusqu’à nouvel ordre, sont, extraites du domaine privé, pour être versées dans le domaine public (par achat ou par expropriation). Ces rues sont ensuite construites et entretenues par les administrations municipales ou provinciale. Ce sont aussi ces administrations qui en règlementent l’usage (limites de vitesse, etc.).Donc, à nos yeux et probablement à ceux d’une majorité de Québécois, les rues appartiennent au domaine public et le gouvernement à le droit et la responsabilité d’y légiférer. 

 


 

 

«Ces communautés religieuses y voient davantage un geste «politique» pour quelques cas particuliers que la réponse à un problème réel de sécurité publique. Pitoyable pirouette intellectuelle de ces «ambassadeurs», ces derniers ne peuvent ignorer que les «quelques cas particuliers évoqués» sont tous attribuables à une seule religion: L’Islam pour ne pas le nommer (Il faut noter et ne pas oublier que ces «prières de rue» sont le fait d’un Islam conquérant.) Difficile de le nommer quand l’un des signataires du mémoire est Mohamed Labidi: auréolé de son prestige de président du Centre culturel islamique de Québec (la fameuse «mosquée de Québec» ). Impossible dans le Québec de 2025 sans être taxé d’islamophobie, si vous ne conviez pas un Mohamed Labidi à signer un tel mémoire.«Une telle interdiction nous semble inapplicable. Puisqu’elle requiert d’identifier sur le champ ce qui relève d’une d’une pratique religieuse et ce qui relève d’une autre forme de pratique culturelle sociale» par exemple», peut-on lire dans le document signé notamment par Mgr Martin Laliberté, de l’Assemblée des évêques catholiques du Québec, Mohammed Labidi, du Centre culturel islamique de Québec, et le père Rafaël Bishara , de l’église copte orthodoxe Saint-Georges et Saint-Joseph. Retenons les noms de ces : »ambassadeurs»: complices objectifs et traitres aujourd’hui, dhimmis demain 

Notons que le centre consultatif des relations juives et israéliennes a refusé d’être cosignataire de ce mémoire. Selon eux, les expressions religieuses comme les processions croix organisées pour le Vendredi Saint, un souper d’Iftar dans un parc à proximité d’une mosquée, les danses à proximité de synagogues lors de la fête juive de Simchat Torah ou encore les célébrations extérieures en lien avec la fête indienne des lumières devraient pouvoir se poursuivre. 

Mais la communauté juive encourage toutefois le gouvernement à légiférer pour empêcher que des prières ne perturbent l’ordre public, bloquent la circulation ou deviennent un moyen de diffuser des discours haineux.» Le centre consultatif des relations juives et israéliennes n’est pas en dépit de son nom, un organisme religieux, ce qui explique peut-être la modération de ses propos.

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