Presque
quotidiennement, les chroniqueurs du Journal de Montréal, Richard
Martineau et Joseph Facal, nous préviennent contre la menace que font
peser les activistes woke sur notre liberté.
Sans se tromper, se pourrait-il que ces excités du wokisme ne soient pas seuls à mettre en péril nos libertés.
Il
semble que ceux-ci dispose maintenant d’alliés dans les rangs de Postes
Canada. En effet: «Des facteurs néo-brunswickois ont écopé de mesures
disciplinaires pour avoir refusée livrer des dépliants anti-trans, selon
un représentant syndical. Au cours des dernières semaines, à l’approche
de la campagne électorale provinciale , Campaign Life Coalition a lancé
une campagne anti-trans qui n’est pas passée inaperçue. Cet organisme
national basé en Ontario a fait distribuer des dépliants dans lesquels
il accuse les enseignants et les libéraux de faire la promotion de la
transidentité dans les écoles et de pousser les enfants à subir des
«mutilations» l’insu de leurs parents. Certains facteurs de la région de
Saint-Jean ont refusé de livrer ces documents, qualifiés de
«propagande»et de «campagne de peur» par les libéraux et par les verts.»
(Dépliants anti-trans: des facteurs du Nouveau-Brunswick écopent de
mesures disciplinaires, Radio-Canada, 21 septembre).
L’article
de Radio-Canada ne nous autorise pas de savoir si le refus de livrer
ces dépliants anti-trans est le fait d’initiatives individuelles ou
d’une discrète directive syndicale.Si e premier facteur venu peut
décider ce que les Canadiens peuvent lire, ces derniers sont
légitimement en droit de s’inquiéter de leurs libertés.
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