Les
Canadiens peuvent dormir sur leurs deux oreilles, le gouvernement
Trudeau compte «faire face à la menace croissante de l'extrémisme de
droite au pays»(L'extrémisme de droite inquiète les autorités
canadiennes, La Presse, 25 janvier).»Sur la question, nous invitons le lecteur à se reporter à: « Extrême droite la menace fantôme, Le Harfang, Vol.7, No 5, Juin\Juillet 2019.
«Au
cours d'une séance d'information pour les sous-ministres responsables
de la sécurité nationale, le Service canadien du renseignement de
sécurité (SCRS) et la GRC ont ouvertement demandé si, compte tenu de la
nature de la menace, le gouvernement du Canada était «en mesure de
réagir efficacement».
«Le
SCRS qui a passé une grande partie des deux dernières décennies à
enquêter sur le terrorisme d'inspiration djihadiste a déclaré l'année
dernière qu'il était de plus en plus préoccupé par ceux qui cherchaient à
soutenir ou à s'engager des actes violents à caractère raciste,
ethno-nationaliste, antigouvernemental ou misogyne.» (lorsque vous
n'avez rien vous mettre sous la dent, ratissez large NDA). Après les
attaques contre deux mosquées en Nouvelle-Zélande, en mars, le premier
ministre Justin Trudeau avait annoncé que le Canada avait pris des
mesures importantes pour lutter contre la discrimination et la
haine.[...] On a augmenté le financement pour assurer la protection des
lieux de culte. (admission intéressante à quelques jours de l'inévitable
grande messe commémorative de l'incident de la Grande mosquée de
Québec.NDA. Est-il permis de demander quels lieux de culte bénéficient
de cette protection à nos frais?). On a également investi dans des
programmes qui favorisent l'inclusion, qui créent des ponts entre les
gens et qui célèbrent célèbrent notre diversité. avait-il dit déclaré à
la Chambre des Communes.»
« Moins
d'un mois plus tard, les agences nationales de sécurité se demandaient
si des termes comme «extrémisme de droite» ou «extrême droite» étaient
exacts.»(Façon élégante d'admettre qu'ils n'ont jamais su de quoi ils
parlaient.NDA).
Les
enquêtes criminelles de sécurité nationale peuvent être déclenchées
lorsqu'il existe suffisamment de preuves pour démontrer une base
idéologique claire et une motivation pour l'acte, peut-on lire dans le
document.» Il ne faudrait probablement pas pousser beaucoup le
gouvernement Trudeau pour lui faire admettre que ce qu'il souhaite
vraiment, c'est criminaliser les pensées et les écrits qui selon lui
pourraient être « racistes, ethno nationalistes et misogynes, il ne
manque que les pensées et écrits homophobes et transphobes, un oubli qui
sera certainement corrigé si le gouvernement décide de passer aux
actes. Nous voilà prévenus un Big Brother inclusif et diversitaire nous
attend.
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