Tuesday, February 6, 2024

Léger avantage GBS

 



La politique sur l’identité de genre du gouvernement albertain dela première ministre Danielle Smith est marquée du sceau du Gros bon sens. «Le gouvernement albertain a dévoilé sa politique sur l’identité de genre, qui prévoit entre autre que le consentement parental sera désormais exigé pour changer de prénom ou de pronom à l’école en Alberta. De plus, es mineurs ne pourront plus avoir accès aux chirurgies de transition, et les thérapies hormonales seront interdites au moins de 16ans. Le premier élément de cette politique du Parti conservateur uni concerne les transitions de genre médicales. Danielle Smith annonce que les Albertains de moins de 18 ans ne pourront avoir accès à des chirurgies de transition. C’est le cas, autant pour les chirurgies «du haut et du bas» précise Danielle Smith (dans une formule aux accents curieusement sportifs, NDA). Peu de temps après la publication, les réactions ont commencé à fuser. Kristopher Wells, titulaire de a Chaire de recherche du Canada sur la compréhension par le public des jeunes faisant partie de minorités de genre et d’orientation sexuelle au Canada, qualifie la politique de «draconienne» et Skipping Stone. Les deux organisations, qui viennent en aide aux membres de la communauté LBGTQ, précisent que les annonces vont «directement à l’encontre des conseils et des preuves des experts […] et entraîneront des préjudices et des souffrances irréparable»(les chirurgies seront interdites pour les mineurs albertains, RadioCanada, janvier).Je ne vois rien de « draconien » dans le fait de protéger des mineurs contre eux-mêmes. Ce qui me semble «draconien», c’est le fait que des jeunes consentent des initiatives aux conséquences irréversibles en autorisant des chirurgies sur Le «haut ou le bas» de leur corps. La politique de Danielle Smith est un pas dans la bonne direction, mais un petit pas, un bien petit pas, à bien y songer: car la politique proposée par le Parti conservateur uni de l’Albert "retarde, mais n’interdit pas". Les transitions médicales demeurant possibles, dès lors que les mineurs albertains franchiront le cap des 18 ans. 

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