En
vaut deux. Mais, lorsque 'avertissement sera compris, il sera
probablement trop tard pour réagir. C'est maintenant qu'il faut réagir.
Selon la Banque mondiale, il faut s'attendre à ce que les changements
climatiques poussent 216 millions personnes à quitter leur région d'ici
2050 (Le changement climatique pourrait pousser 216 millions de
personnes à migrer d'ici 2050, le Journal de Montréal, 13
septembre). Ils ne sont pas encore là que déjà, ils portent un nom, il
faut nous faire une raison; les «migrants climatiques» seront bientôt
parmi nous. Parmi nous et nombreux.
Certes
il se trouvera parmi nous pour douter de la réalité de ces «changement
climatique», mais nous ne serons pas nombreux. On nous seriné tout l'été
que les feux de forêt en Colombie-britannique étaient attribuable à ce
réchauffement climatique. Si les hypercapitalistes de la Banque mondiale
joignent leur voix à celle de Greta Thunberg, c'est que cela doit être
vrai.
«Le
changement climatique est un moteur de migration plus en plus
puissant», notent les experts de l'institution dans un rapport publié
lundi, relevant «l'urgence d'agir» alors que «les moyens de subsistance
et le bien-être humain sont de plus en plus mis rude épreuve». Ce
rapport complète le premier du genre, dévoilé en 2018, et focalisé sur
trois régions du monde: l'Afrique subsaharienne, l'Asie du sud et
l'Amérique latine. Le problème est que que l'Afrique subsaharienne et
l'Amérique latine n'ont pas attendu le réchauffement climatique pour se
mettre en marche la première vers l'Europe occidentale et la seconde
vers les États-Unis. Le réchauffement climatique n'étant que le plus
récent prétexte pour nous faire accepter sans mot dire quelques millions
de réfugiés de plus
Mauvaise
nouvelle alors même que toutes les données démographiques indiquent que
les populations blanches d'Europe occidentale et des État-Unis seront
minoritaires chez elles au milieu de ce siècle en vertu des effets
combinés de l'immigration et de la natalité de cette immigration. Le Grand remplacement est évidemment une théorie fumeuse issue du cerveau dérangé de quelques complotistes.
Au-delà
du mouvement migratoire de ces «migrants climatiques» , ce qu'il faut
craindre c'est l'agitation des cercles immigrationnistes qui voudront
nous convaincre d'ouvrir nos frontières, nos bras et nos coeurs à ces
«migrants climatiques». J'entend déjà les violons, tout y passera,
famines, désertification, érosion des côtes,etc.. Nous devrons nous
faire à l'idée que l'on nous fera encore une fois porter «le fardeau de
l'homme blanc». défaut de freiner le mouvement des «migrants
climatiques», nous pouvons contester les prétentions du lobby
immigrationniste et tout faire en oeuvre pour mettre un terme aux pompes
aspirantes en Occident.
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