«Le
Canadien de Montréal portera mardi 914 février) un maillot spécial
conçu par un artiste d’origine haïtienne afin de célébrer le mois de
l’histoire des Noirs.» (CH: un chandail pour le Mois de l’histoire des
Noirs, Journal de Montréal, 13 février)
«Les joueurs porteront les nouveaux chandails à l’échauffement avant le match au Centre Bell contre les Black Hawks de Chicago.»
«Le
mois de l’histoire des Noirs est une belle opportunité pour notre
organisation de réitérer son engagement à bâtir une communauté du hockey
inclusive , sécuritaire et accueillante, exempte de toute forme de
racisme ou de discrimination[…] a indiqué par voie de communiqué la
vice-résidente à l’engagement communautaire du club, Geneviève
Paquette.»
«L’hibiscus,
fleur emblématique d’Haïti , sera mis de l’avant. Les noms et les
numéros des joueurs seront inscrits en jaune, avec une discrète touche
de bleu et de rouge, rappelant les couleurs et les broderies de l’art
antillais.
Toujours incapable de se doter d’un capitaine parlant français, voilà que le Canadien se met à l’art antillais.
pour
respecter le thème, faudra-t-il que le successeur de Nick Suzuki parle
créole? Voilà qui serait du meilleur effet. Le Canadien suit la parade
qui transforme les athlètes professionnels en hommes-sandwichs de la
diversité et de l’inclusion. À l’instar des joueurs de football de la National football league appelés à porter sur leur casque un petit écriteau affirmant End racism. Sans
trop y croire, se trouvera-t-il chez le Canadien un joueur, un seul?
Ayant la colonne vertébrale de ne pas porter ledit chandail et suivant
en cela l’exemple d’Yvan Prorovov (voir ce blogue, Joueur de concession, 19 janvier) .Les joueurs de hockey apparaissent aujourd’hui «comme des chapons, bien gras et bien dociles»
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