Le «Bon catholique» qui réside actuellement à la Maison blanche récidive(voir ce blogue, Le faux-cul, 21 octobre ). Devenu un ardent défenseur de l’avortement suite à la décision de la Cour suprême de renverser Roe vs Wade,
Joe Biden donne maintenant des gages à la communauté homosexuelle:
««Love is love» : Joe Biden, qui avait depuis longtemps épousé la cause
du mariage homosexuel , a signé mardi à la Maison-Blanche, devant des
milliers d’invités et dans une ambiance de fête, un texte protégeant
l’union de personnes de même sexe dans l’ensemble des États-Unis. Il
s’agissait d’un moment particulier, pour le président américain, qui en
2012, avait marqué les esprits en se disant publiquement favorable au
mariage pour toutes et tous alors qu’il était vice-président deBarack
Obama. C’en était aussi un pour la vice-présidente Kamala Harris et la
patronne de la Chambre des représentants Nancy Pelosi (une catholique
ayant visiblement appris son catéchisme au même endroit que Joe Biden,
NDA). Le président s’est ensuite installé pour signer le texte. Alors
qu’intendant son stylo en signe de remerciement , à Kamala Harris, Une
chanson deLady Gaga, Born this way, a été diffusée à
plein volume tandis que la Maison-Blanche s’illuminait aux couleurs de
l’arc-en-ciel. La cérémonie, résolument festive, a mêlé une apparition
de Cindy Lauper pour sa chanson True Colors, avec le
témoignage de deux lesbiennes, Gina et Heidi Nortonsmith, qui ont porté
un combat précurseur devant les tribunaux pour faire reconnaître leur
union et leur famille. Le moment était aussi, évidemment politique : on a
vu Joe Biden donner l’accolade au secrétaire aux Transports Pete
Buttigieg, premier ministre ouvertement homosexuel jamais confirmé par
le Sénat américain, et bavarder avec la sénatrice bisexuelle Kyrsten
Sinema-qui vient de claquer la porte du parti démocrate»( Biden
promulgue une loi protégeant le mariage homosexuel, La Presse, 13 décembre).
«Love
is Love» slogan, facile et racoleur peut recouvrir toutes les formes
d’amour des plus nobles aux plus frelatés. Sans freins, «Love is love»
peut justifier les «unions» homosexuelles (évitons l’usage du terme
mariage), les probables futures «unions» transgenres, choisissez la
combinaison qui sera la première a être sanctionnée.
Chacune
de ses «avancées»soulèves des questions. Quelle sera la «prochaine
frontière» que voudront franchir les progressistes? Quel sera le tabou
qu’ils voudront faire voler en éclats? Il ne faut pas être grand clerc
pour penser que ce sont les enfants qui seront lancés dans le moulin à
viande de la sexualité perverse des pédophiles. Il suffira à ces
apprentis sorciers de «jouer» avec l’âge de la majorité au consentement à
des relations sexuelles.Il y a déjà un activisme pédophile discret à
l’oeuvre avec, par exemple, le travail politique de la North American Man\Boy Love Association (NAMBLA) dont le slogan est Sexual Freedom for all (la
liberté sexuelle pour tous). Voulant ainsi soutenir le roi des jeunes
et des adultes à choisir les partenaires avec lesquels ils désirent
partager leur corps.
Ou seront alors les Joe Biden de ce monde?
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