Wednesday, November 12, 2025

Mad Max et GBS beauceron

 



Pour la classe politique canadienne ét la gent journalistique de notre pays, la cause est entendue et jugée depuis longtemps.  Pour eux, Maxime Bernier n’a pas la tête à Papineau et tare impardonnable, il a succombé à la tentation populiste. il faut être capable de franchir ce mur de condescendance afin de découvrir que MaximeBernier peut faire preuve d’un solide et redoutable Gros Bon Sens beauceron.

 


 


Alors que nos «élites» politiques se sont agglutinées autour des cénotaphes et monuments aux morts du pays afin de saluer le souvenir des Canadiens morts sous l’uniforme (pour défendre nos valeurs et notre liberté). Maxime Bernier pose la question qui tue. Dans un communiqué du Parti populaire  du Canada en date d’aujourd’hui (11 novembre): Mad Max écrit: En ce 11 novembre, «Souvenons-nous de ceux qui sont tombés pour notre pays. Que diraient-ils s’ils voyaient dans quel état pitoyable est le Canada aujourd’hui?

nous leur devons plus que le souvenir.

Nous leur devons un Canada qui vit encore selon les valeurs pour lesquelles ils sont tombés. (caractères gras et souligné dans le communiqué d’origine)

Assurons-nous qu’il ne soit pas morts en vain.» 

 À la lecture de ces quelques lignes , je me prend à souhaiter que les Mark Carney, Pierre Poilievre et François Legault finissent pa avoir un peu beaucoup de Mad Max dans le nez. si c’était le cas, aurions-nous un pays qui ethniquement et culturellement a changé radicalement depuis 1945. Les hommes qui sont tombés à Dieppe, Juno Beach ou Ortona sont -ils tombés pour le Canada multiculturel de Pierre Elliot ou le Canada post national de son fils?  ils ne sont pas morts pour un pays gangréné par l’idéologie woke, laissé aux LBGTQ+ de tous poils et envahis par le Tiers-monde. 

Au plus profond de vous-mêmes vous savez que Maxime Bernier a raison. Avec son air de ne pas y toucher, Maxime Bernier manifeste un respect plus sincère pour les hommes tombés entre 1939 et 1945 et ceux ui sont revenus souvent avec de graves stress post traumatique dont ils souffriront des années durant, que les pharisiens, coquelicots à la boutonnières, qui se sont pressés aujourd’hui autour des cénotaphes et des monuments aux morts du pays.

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