C’est
avec intérêt que j’ai regardé les différents topos diffusés sur la
visite du président Biden en Israël dans le contexte de ce qui est
immédiatement devenu dans les médias occidentaux mainstream, la guerre Israël-Hamas.
Visite
sans surprise, car: «Dès son arrivée, M.Biden a repris à son compte
l’explication israélienne, qui nie avoir frappé l’hôpital et incrimine
un tir de roquette défectueux du Jihad islamique. Conscient que les
dénégations systémiques l’armée israélienne dans ce genre de situation,
parfois contredites par des enquêtes menées ultérieurement, ont entamé
la crédibilité de l’État hébreu, le locataire de la Maison Blanche a
précisé, plus tard, tirer ces informations du département de la défense
américain.» (En visite éclair àTel Aviv, Joe Biden affiche son soutien
aux Israéliens mais demande de la «clarté sur les objectifs» de la
guerre», Le Monde, 19 octobre). Joe Biden, visiblement
indifférent au sort de la population gazaouïe, avalise la position
israélienne. La visite de Joe Biden à Tel-Aviv, c’est la visite du
vassal américain au suzerain israélien. Depuis la création de l’entité
sioniste, dans les relations israélo-américaines, ce n‘est pas le chien
qui agite la queue, mais la queue qui agite le chien.
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