Le Comité International Olympique(CIO) a cédé à l'air du temps.»L'haltérophile néo-zélandaise Laurel Hubbard (née Gavin) a assuré son ticket pour Tokyo, devenant la première sportive ouvertement trangenre à s'aligner aux JO, [...]Laurel Hubbard a effectué sa transition en 2012, à 35 ans, et est devenue vice-championne de monde des + 90 kg en 2017. Elle sera candidate au podium au Japon cet été et cela pourrait nourrir le débat sur la participation des sportives transgenres et l'avantage physiologique qu'elles conserveraient de leurs années dans un corps d'homme.» (JO l'haltérophile Laurel Hubbard, première femme ttransgenre aux Jeux olympiques, L'Équipe, 6 mai). Les plus âgées se souviendront des Vénus de Milo que l'Allemagne de l'est (La République Démocratique d'Allemagne) envoyait à l'époque aux JO, Il est vrai qu'à l'époque certaines athlètes féminines est-allemandes faisaient l'objet d'expériences et servaient de cobayes à la médecine età la pharmacologie est-allemandes. C'est tout de même une boîte de Pandore que le CIO ouvre, certains penseront que c'est un moindre mal que l'irruption d'athlètes transgenres surviennent dans le cadre d'une discipline marginale comme l'haltérophilie féminine et non dans le cadre de l'une des disciplines reines de l'athlétisme (le 100 mètres, etc.). Le CIO se réveillera-t-il lorsque les records olympiques féminins voleront en éclat devant l'arrivée de ces femmes transgenres? Et qu'il apparaîtra que les JO entrent dans une nouvelle ère.
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